172. Schreiben König Ferdinands I an seine Schwester Maria.
PRAG, 5. März 1527. Abgedruckt in Gevay: Urkunden und Aktenstücke I.
Au surplus madame vous auertis comme le iour saint Mathias XXIIII de feurier ie prins ma coronile auec les solempnitez et serimonies accoustumees aussi fit le landemain ma bonne compaigne. Le tout au grant contantement de touš les nobles et consequamment de tous ceulx de ce pays. Je me haste le plus quii mest possible vuyder les affaires de cedici pays qui ne sont petit comme mieulx savez que moy. Et la grace dieu y ay desia grandement exploictie et comme a souhaid. Et espere de tresbonne yssue et de a mon partement laisser toutes choses en tresbon ordre au contantement dung chascun, pour apres tirer a diligence par dela. Car mon retour ne me tarde de meins que a vous, vous priant me contimi eli ement auertir de vostre sante et disposicion quest la chose sur toutes que plus ie desire souuent entendre et apres de toutes voz autres neuuelles. Priant a tant le createur apres mestre humblement et de bon cueur recommande a vostre bonne grace, qui madame ma bonne seur vous doint auec laccomplissement de voz vertueulx desirs bonne vie et longue. De Prägen V de mars a. XXVI.